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Le gospel  veut dire en français : "chanter l'évangile".

J'écris des poèmes, des textes, des versets bibliques que je mets en musique. Je suis auteur compositeur 1283et interprète.

je vais commencer à éditer mes poèmes. Le premier  parle de l'Eglise.

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L’Église

Être dans une église, sans faire d'analyse,

C'est porter sans poignée, une lourde valise,

Cela ne te dit rien, mais si tu réalises,

La lourdeur de ton acte, si tu brûles la balise,

 

Être dans un endroit, qui n'applique pas la bible,

C'est une arme pointée là, de balles qui te criblent,

Un faux contact souvent, disjoncte le fusible,

La vérité est mieux, qu'une flèche sans la cible,

 

Lire la parole de Dieu, et la mettre en pratique,

Être inspiré de Dieu, est une belle tactique,

De celui qui nous veut, mais pas comme une relique,

Évite dans cette vie, tout ce qui est tragique,

 

Tourne toi vers ton Dieu, et fais tout ce qu'il veut,

Avec lui dans ton cœur, tu seras très heureux,

Prend ce petit chemin, fais tout ce que tu peux,

Pour passer avec lui, de très beaux jours heureux,

 

Tu vas donc avec lui, pour aller dans les cieux,

Et pour toi cet endroit, sera de loin le mieux,

Tu seras avec lui, dans un merveilleux lieu,

Une si belle vie, très loin de nos banlieues,

 

La victoire est en toi, ça c'est grâce à la foi,

Chaque jour pense à lui, il sera avec toi,

Toutes ces belles promesses, sont à toi et à moi,

Prenons les par la foi, et oublions la loi,

 

Vivons en harmonie, qu'avec notre Dieu,

Ce n'est pas de vouloir, être un homme pieux,

C'est être en relation, toujours avec Dieu,

Cherche que cet endroit, tu vivras dans ce lieu,

 

Enfin tu as trouvé,

Pour ton éternité,

Grâce à la vérité,

Il te donne la clef,

C'est pour toi à jamais,

Ton nom y est noté,

Voila la vérité,

Un endroit réservé,

Il l'a mis de coté,

quelle belle réalité.

Jean-Marc Lopez 

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Mon deuxième poème le franc-jeu, c'est de prendre conscience qu'il y a un Dieu.  Certains se servent d'un substitut : un créateur, une divinité,  un être suprême,  mais le résultat est le même. Nous sommes fiancés au Seigneur, notre mariage aura lieu dans les cieux, les noces de l'Agneau et de l'Eglise : Apocalypse 19/7 et 8 : 7 "Réjouissons-nous, soyons dans la joie et rendons lui gloire, car voici venu le moment des noces de l'agneau, et son épouse s'est préparée. 8 il lui a été donné  de s'habiller d'un fin lin, éclatant, pur."  

                                                                                                                           

Le Franc-jeu

Et bien joue le franc-jeu,

Ta voiture sans essieu, 

Sur chemin rocailleux,

Limite va prendre feu,

 

T'as beau être belliqueux,

Et souvent calomnieux,

Comme tout capricieux,

Tu deviens désastreux,

 

Veux-tu connaître Dieu,

Tu le crois à mille lieues,

Deux personnes dans un  lieu,

Il est juste au milieu,

 

Tu veux te voir radieux,

Et bien cesse le feu,

Supporte ton aveu,

Et juge un non-lieu,

 

Notre Dieu dans les cieux,

Guérit les malheureux,

Il est si fabuleux,

mais personne ne le veut,

 

Ce qui donne pour aveu,

Mais je suis très heureux,

Je ne suis pas malheureux,

Aveu ou désaveu,

 

Toi approche toi de Dieu,

Ne sois pas si frileux,

Soit un homme très heureux,

Tu habites un chef-lieu,

 

Lui habite dans les cieux,

c'est bien avantageux,

Comme toi le nerveux,

Il te rendra radieux,

 

Veux-tu être audacieux,

C'est vraiment astucieux,

Tu sera amoureux,

Il n'y a rien de douteux,

 

Ce sera comme un feu,

Un amour fabuleux,

Un être merveilleux,

De cette union à deux,

 

Rien n'sera disgracieux,

tout sera audacieux,

Tellement astucieux,

cette amour jusqu'au cieux.  

 

                                                                                                           Jean-Marc Lopez

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Le troisième poème parle du baptême adulte, qui est un acte d'obéissance et personnel à la parole de Dieu ( la bible ), que les églises évangéliques mettent en application. Sachant que le Seigneur Jésus-Christ s'est fait lui-même baptisé à trente ans, par Jean le baptiste dans le jourdain. Ensuite  il l'a commencé son ministère, jusqu'à ses trente trois ans, où il fut crucifié à Golgotha ( le lieu du crâne ).

 

Le baptême d'Anaïs

 

Anaïs bienvenue dans la famille du Christ,

Dans les temps difficiles, tu ne seras jamais triste,

Tu as vu la joie qu'avait eue Jean-Baptiste

A savoir la venue du Seigneur Jésus-Christ.

 

Garde le vrai bonheur à n'importe quelle heure,

Tu es pour lui un pot rempli de belles fleurs,

Par la foi dans ton cœur il a fait sa demeure,

Pense à tes belles journées remplies de sa faveur.

 

Car le vrai Dieu règne à jamais sur ton cœur,

Ta vie avec Christ toujours un vrai bonheur,

Avec son amour tu ne manqueras pas l'heure,

Ce sera pour toi bien plus qu'un grand honneur.

 

Toute l'éternité tu n'auras jamais peur,

Tu seras bien heureuse de ne pas être ailleurs,

Car tu vois à ses yeux tu as de la valeur,

Et garde dans ton cœur sa brûlante chaleur.

 

Tu as fait le bon choix,

Tu n'es plus sous la loi,

Ça c'est grâce à ta foi,

tu prieras à chaque fois,

Dieu sera avec toi.

Jean-Marc Lopez

 

Le poème suivant qui semble abstrait, mais pour moi il ne l'est pas. On parle de scultures et de peintures abstraites, faits par des maîtres, qui se vendent  très

chers. Les acheteurs finissent par donner une interprétation personnelle, certes cela part souvent dans des délires, pour moi un profane de cet art bien

sûr. Là j'apporte une réflexion, sur un sujet improbable, d'où le titre. C'est ce qui fait le charme de ce texte, l'impossibilité qu'il puisse un jour  se réaliser mais

c'est assez comique. Il faut être sérieux mais pas se prendre au sérieux. 

 

L'IMPROBABLE

Bon entendeur salut, 

Dit le muet au sourd, 

L'aveugle est abattu, 

Qu'il puisse parler au sourd, 

Il dit donc au muet, 

Arrête de lui parler, 

Que peux-tu raconter ?

Pour qu'il puisse dialoguer,

Le muet dit t'es lourd, 

Et même vraiment balourd, 

Peux-tu vraiment nous voir,

Et toi peux-tu parler,

Non je ne peux pas voir,  

Moi je ne peux parler, 

Mais quel dialogue de sourds,

Dit-il à ce balourd, 

 

Chacun partit de leur côté, 

Sans plus jamais se rencontrer, 

Ils étaient tous trois étrangers, 

L'aveugle, le sourd et le muet,

Ils étaient  tout trois révoltés, 

Et ne se sont pas retournés,

De ne pouvoir tous partagés, 

Ne  serait-ce qu'une simple pensée,

Rien ne pouvait les rapprocher,

La morale de cette histoire,

Que l'on ne peut  toujours croire, 

 

A d'incroyables histoires, 

Que l'on  ne peux pas  voir,

C'est comme tous casse-tête, 

Cela donne mal à la tête. 

 

Jean-Marc Lopez

 

             

 

 

 

 

 

 

 

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